Les délires de la FIA

Tony a écrit:

On a déjà des femmes ingénieurs, des femmes patronnes d'écurie, très bien, que veut-on de plus ?

Des femmes pilotes !

Loyola a écrit:

c’est une page d’histoire qui se tourne, un des derniers hommes occupent un poste à responsabilité qui fait partie de ceux ayant vu leur vie changer suite à la transformation de la F1 en business par Bernie.

Pourrions-nous ajouter, à ce sujet : "qui fait partie de ceux ayant vu et connu dans les détails la grand mutation sécuritaire et technique de la formule 1 post-1993-1994".

Et ils en sont à reconsidérer cette connerie de ravitaillement

Le candidat de Bernie Ecclestone, Mohammed Ben Sulayem, a vaincu le bras droit de Jean Todt, Graham Stoker (à ne pas confondre avec le créateur de Dracula). C'est la victoire de la rupture, nous dit-on. Une belle victoire du "soft power" émirati également, si on veut prendre un peu de hauteur.

J'ai lu qu'il entendait revoir les institutions de la FIA, avec la création d'un poste de directeur général qui différerait de celui de président. Serait-ce un retour aux années 75 - 85, où nous avions un président de la FIA pour le décorum (Metternich) et un président de la FISA pour l'action (Balestre) ?

Pas forcement ce qu'est la FIA est incomparable avec les année 70, la création d'un DG en plus du président est même plutôt assez rationnel en terme de gouvernance d'une institution de cette taille.

Je crois qu'il faut remonter à Balestre pour retrouver une telle défiance de la F1 contre la direction de la FIA

Et la puissance économique de la F1 actuelle est sans commune mesure avec celle des début de la prise de pouvoir de Bernie.

Il faut avouer que Liberty a parachevé l'œuvre de Bernie en terme de business ce qu'il n'avouera évidement jamais.

Cela me rappelle en effet Balestre, bien que Mosley pouvait être assez dur en affaire mais le tandem qu'il formait avec Bernie rendait cela bien plus lisse et efficace finalement.

Todt était parvenu à rendre le rôle de la présidence de la FIA neutre et transparente et son successeur aura tout mis par terre de ce côté.

On va visiblement vers un gros désaveux pour Ben Sulayem : Un patron de la FIA avec le sport automobile n°1 hors de son giron

Loyola a écrit:

On va visiblement vers un gros désaveux pour Ben Sulayem : Un patron de la FIA avec le sport automobile n°1 hors de son giron

Un retour au prince de Metternich en somme ?

Ben Sulayem est-il est de loin le plus ridicule des dirigeants de la FIA depuis des lustres ?

La renégociation du prochain round des accords concorde s'annonce comme épique et à grand spectacle

Ce serait les premiers Accords Concordes où FIA et FOM se disputent au lieu d'être unis face aux écuries, non ?

C'est pour moi surtout la premiére négociation avec une FIA aussi faible

prochaine étape : Ben Sulayem a acheté son élection à la tête de la FIA