Bilan de l'année, équipes et pilotes. A nous de le faire!

Oui c'est vrai, Renault a eu des problèmes d'adaptation notamment avec les pneumatiques Bridgestone. Au temps pour moi. Ta dernière phrase est aussi véridique. Le pilote fait avec les moyens du bord.

Je mettrais mes bilans plus tard.

Schumilton29 a écrit:

Renault, a perdu gros avec la perte d'Alonso.

C'est un peut ça.
La voiture n'a pas été bien conçue en début de saison et les pilotes ont fait leur maximum avec leurs autos. Il y aussi les pilotes qui ne sont pas vraiment a la hauteur pour la victoire :
G FISICHELLA ne sait pas gérer la pression (Comme au grand-prix de BRÉSIL en 2006 face a M SCHUMACHER (il est vrai que le pilote Allemand avec une voiture très rapide durant le grand-prix. ).).
H KOVALAINEN n'est qu'un simple débutant pour sa première saison.

merci de vous êtes prié de faire quelques lignes

pour tony, j'aime bien son style également.
Je ne suis pas d'accord avec tout, c'est normal et ce n'est qu'un point de vue vis- à- vis de quelques pilotes:

D'abord pour Red Bull je ne vois pas en quoi la saison fut glorieuse: si tu enlèves le nurburg c'est la pire saison de la marque.
Ensuite je te trouve assez dur avec Nico Rosberg mais bon vous savez que je l'aime bien
Pour Nick Heidfeld, il a beau avoir fait une saison ennuyeuse ce n'est pas de sa faute: il n'avait personne à son niveau, ou rarement Kubica. Il faut arrêter de le voir comme un fantôme.

pour renault je pense que le rôle du pilote est encore important dans cette marque, avec la voiture: fisichella n'aurait pas été champion du monde en 2005-2006. La raison? le manque de moyens et un développement bien moins poussé que les autres Maclaren et l'ogre ferrari.

RedBull a fait une saison honorable, et on enlève rien du tout. Sinon, en enlevant toutes les fois ou Rosberg a fini une course, il a toujours abandonné...

et si on enlève toutes les fois ou Massa n'a pas terminé premier, et bien... C'est un super pilote

et si on enlève les fois ou Webber a fait une bonne course et bien...... On a rien à enlever

F1spirit a écrit:

D'abord pour Red Bull je ne vois pas en quoi la saison fut glorieuse: si tu enlèves le nurburg c'est la pire saison de la marque.
Ensuite je te trouve assez dur avec Nico Rosberg mais bon vous savez que je l'aime bien
Pour Nick Heidfeld, il a beau avoir fait une saison ennuyeuse ce n'est pas de sa faute: il n'avait personne à son niveau, ou rarement Kubica. Il faut arrêter de le voir comme un fantôme.

La Red Bull façon Newey n'est encore pas parfaite, loin de là, mais cinquième (ou sixième...) du championnat constructeurs, c'est quand même leur meilleur résultat, surtout par rapport la saison 2006 qui elle, fut très décevante. La fin de saison a également été satisfaisante en terme de performance, si ce n'est les grosses faiblesses de la boîte de vitesses. Je suis donc plutôt confiant oui sur l'avenir de Red Bull, l'équipe a des moyens, le management de Mateschitz et Horner est intelligent, mais peut-être est ce aussi par a priori favorable vis à vis de Newey...
Pour Rosberg, je ne doute pas qu'il progresse encore, s'il reste chez Williams.
Pour Heidfeld c'était du second degré.

Voilà un an que Michael a jeté le gant. Et il faut le reconnaitre, cette saison 2007 fut la plus indécise de ces 15 dernières années.

Pourtant la F1 elle n'a pas changé, minée par la politique omniprésente et les décisions prises par la toute puissante FIA. Entre l'affaire d'espionnage menée devant les tribunaux civils et l'ingérence de la FIA dans la façon dont Ron Dennis dirige son équipe, nous avons vécu cette saison quelques premières plutôt inquiétantes pour l'avenir.

À tel point que j'aurais tendance à dire que le sport n'a jamais été autant bafoué que cette année. Heureusement, l'affrontement en piste fut tout autre.

Non pas que la F1 soit soudainement devenue imprévisible mais il faut reconnaitre que la façon avec laquelle Ferrari et McLaren ont laissé leurs pilotes jouer leur chance jusqu'au bout nous a valu des courses plus indécises que par le passé.

Pas de quoi s'emballer pour autant. Nous avons connu une situation exceptionnelle où les trois (quatres?) meilleurs pilotes du plateau pouvaient se battre à matériel équivalent - il faut dire qu'avec les même pneus et les même moteurs (ou presque), c'est déjà plus simple, qui a vu deux de ces trois pilotes (Alonso et Räikko pour ceux du fond ) mis dans l'adversité et une fin de saison complètement folle grâce à la météo.

Finalement, Schumacher n'aura pas manqué à la F1. Je me prends néanmoins souvent à rêvé de ce qu'aurait pu être cette saison si Michael avait accepté d'affronter Kimi chez les rouges.

Ca aurait surement fait du bruit

personne n'est irremplaçable en f1 de toute façon, même des grands champions qu'on a supporté, il faut savoir l'accepter.

Par contre il y en a certains dont le départ est une véritable bénédiction libératrice.

Loyola a écrit:

Par contre il y en a certains dont le départ est une véritable bénédiction libératrice.

On ne peut pas le nier !!!

Toujours plus de tricheries, de comportements puérils des pilotes, de robots formatés, de circuits insignifiants...

La F1 a été libéré, c'est certain !

Justement, c’est cela qui est fort surprenant, malgré tout ce que cette saison à eu de détestable elle n’en reste pas moins bien plus intéressante que bien des saisons de l’air des cavaliers seul de Schumacher.

Comme après la libération, il faudra reconstruire, mais cela n’empêche pas un beau sentiment de plaisir retrouvé.

Tout ça est très subjectif.

Le seul intérêt de cette saison fut la bagarre pour le championnat du monde à 4 souillée à la toute fin par les affaires donc...

J'ai franchement très nettement préféré 2006 et 2005.

Yoschurri a écrit:

J'ai franchement très nettement préféré 2006 et 2005.

Moi, aussi la fin de l’air MS en présence de ce dernier c’était franchement mieux, particulièrement en 2006 où il fût une nouvelle fois incapable de remporter un championnat qu’il ne dominé pas mécaniquement.

Anti-Schumi va !

Yoschurri a écrit:

Anti-Schumi va !

Non, amoureux des sports mécaniques

L’homme est associé à la plus ennuyeuse, inintéressante et affligeante des périodes de l’histoire de la F1, ce qui n’ôte rien à son talent.

• Raikkonen :

Tout fini par arriver, le si charismatique scandinave a fini par être titré. Se ne fût pas sa plus grande saison mais il a su être au bon endroit pour bénéficier d’un concours de circonstances un rien aider par les manigances de son écurie et l’abnégation de son équipier.

Il nous a surtout donné cette saison une belle leçon de maitrise de soi. Confronté a des difficulté d’adaptations à la donne pneumatique et a son écurie, semblant avoir a souffrir de la comparaison avec son équipier, il a pris sur lui et a patiemment attendu de retrouver son rang par la seule force de son talent et de son travail.

Remarquable de force de caractère, rien que pour cela il mérite largement un titre hélas entaché de bien des manipulations auxquels il est complètement étranger.

Raikkonen fût incontestablement le plus élégant des pilotes de pointe cette saison, ce qui au vu de la nature de son encadrement est un remarquable exploit.

• Hamilton :

Il me faut reconnaitre qu’a l’intersaison je ne donnais pas chère de la peau du britannique.
Débuté dans une équipe de premier rang, avec un niveau d’attente exceptionnel de la presse et du peuple britannique, tout en devant cohabiter avec un double champion en titre réputé inébranlable, relevait plus pour moi du cadeau empoissonné que de la faveur.

Et dés la première course il me fallut reconnaitre mon erreur : ce garçons était non seulement ce que j’avais vu de plus prometteur débuter en GP depuis MS, mais il faisait de plus preuve d’une maturité et d’une intelligence remarquable.

Il tint la pression redoublé de part son statut de potentiel champion du monde d’une manière plus qu’étonnante et ne fût dramatiquement déstabilisé qu’au travers du lynchage de son écurie et de l’envenimement absolu des relations avec son équipier.

Hamilton fut cette saison le prétendant au titre abordant la fin de saison dans les plus mauvaises conditions au sein de son écurie qu’on puisse imaginer.

Et lui et son écurie flanchèrent, ce qui au vu des circonstances n’a de surprenant que le fait d’avoir eu lieu si tardivement.

Une saison remarquable, d’autant plus que ce garçon semble en avoir encore pas mal sous le pied. S’il ne prend pas la grosse tête et affute ses armes, ce sera le gros client des années à venir.


• Alonso :

La déception de la saison. Ce pilotes qui par deux fois avait montré sa force dans l’adversité a cette saison montré ses limites.

Pour être au mieux de sa forme, il lui faut être materné par une écurie lui donnant toutes attentions.

Il n’a pas supporté d’avoir à partager ses jouets avec Hamilton et au lieu de suivre l’exemple remarquable d’un Raikkonen, il a préféré tapé des pieds, casser son jouet et bouder.

Il devrait être le champion du monde 2007 et il est le seul responsable de son échec.

• Massa :

Une très belle saison du Brésilien qui confirme son statut de meilleur des seconds couteaux. Imbattable quand les conditions lui sont favorables, il lui manque ce rien de talent pour aller au delà.

A force de travaille et d’application, ce garçon pourrait finir par remporter un titre sur un concours de circonstances.

Mais il risque fort de devenir le porteur d’eau de Raikkonen.

• Heifeld :

Le cousin Germain de Massa, un très bon chauffeur livreur, réglé comme une montre suisse. Un bon faiseur rien n’à rajouter.

• Kubica :

Après des débuts fougueux, on espéré beaucoup de lui. Sa monoplace 2007 était un outil propice à l’expression de son potentiel et, sans être profondément déçu, sa saison laisse cependant net goût de relatif échec. Le talent est là mais il faudra confirmer d’urgence les espoirs mis en lui, sous peine de vite passer au statut d’ancien espoir.

• Wurz :

L’électroencéphalogramme de la grenouille fait figure de ligne d’horizon alpine au regard de cette dernière et très oubliable saison de l’Autrichien.

• Rosberg :

Avec luis c’est les montagnes russes, des débuts très prometteur, une saison 2006 finalement en demi-teinte puis finalement un remarquable travail en 2007. Il y a encore du travail pour prétendre aux premiers rangs, mais c’est un net progrès

Pour compléter ce bilan subjectif, je vous propose un petit questionnaire :

1.1/ pilote ayant fait montre de la meilleure pointe de vitesse : Hamilton

1.2/ pilote le plus régulier : Heidfeld

1.3/ pilote ayant le plus progressé : Kovalaïnen

1.4/ pilote le plus combattif : Räikkönen (d'une courte longueur devant Kubica)

1.5/ pilote le plus habile dans les dépassements : Alonso

1.6/ pilote "rainmaster" : Alonso

1.7/ pilote le plus charismatique : Aonso (bien difficile de départager les pilotes actuels sur ce point maintenant que MS n'est plus là )

2.1/ équipe la plus rigoureuse : Ferrari

2.2/ équipe la plus combattive : Ferrari

2.3/ équipe ayant produit la meilleure voiture (compte tenu des moyens à sa disposition) : McLaren

2.4/ équipe la plus sympathique : Super Aguri

2.5/ équipe la plus prometteuse : BMW

Si vous avez d'autres idées pour compléter ce questionnaire, n'hésitez pas. Sinon, je peux aussi tout simplement reprendre les catégories des "man of the year" awards de F1Racing.

sephiroth a écrit:

1.1/ pilote ayant fait montre de la meilleure pointe de vitesse : Hamilton

Ça vient du pilote la vitesse de pointe

Je pensai juste que c’était une fonction cubique inverse de la puissance, du coefficient de pénétration dans l’air, de la surface frontale et de la densité de l’air