Après un mois de pause, voici un retour à Bakou "historique", avec le premier sprint indépendant et les qualifications qui vont avec. Une seule séance libre, et un Grand Prix qui de fait pourrait durer deux jours sans l'artefact du sprint.
Sinon, reste à voir si la pole de Leclerc ne sera pas qu'un feu de paille au regard de l'attrition des pneus, l'un des gros points faibles de la Ferrari...